Tosca - Tosca - G. Puccini
Hélène Bernardy ist eine stolze, emotionale, eifersüchtige
Frau, die wie eine Löwin kämpft. Sie gebietet über leuchtende Spitzentöne.
(Klaus Klachschmid, Opernwelt - 08/ 2005 )
...die stimmlich hochpräsente Tosca der belgischen Sopranistin Hélène Bernardy...
(Joachim Dracke, Orpheus- 09/2005)
Hélène Bernardy ne joue pas les divas. Sa „Tosca“ est une cantatrice d’aujourd’hui, presque anonyme lorsqu’au premier acte elle entre dans San Andrea della Valle en trenchcoat (...) Elle convainc pourtant par sa musicalité scrupuleuse et sa sincérité.
(Michel Parouty, Les Echos 10.05.2005)
La soprano belge Hélène Bernardy, avec une voix généreuse, bien conduite et à l’aise sur toute la tessiture de ce rôle exigeant, s’investit éperdument dans un rôle où le drame, inexorable, s’accomplit d’instant en instant. La comédienne est accomplie (...) l’impression globale retenue est celle d’une chanteuse admirable.
(Alain Attyasse- Res Musica- 2005)
Als musikalische Interpreten ihrer Partien können sie sich hören lassen und bestätigen zuverlässig den guten Ruf Immlings: Hélène Bernardy als Tosca mit stimmlicher Glut;...
(Sabine Dultz Münchner Merkur, 4. Juli 2005)
Hélène Bernardy als Tosca eine hochherrschaftliche und doch auch weiblich-kapriciöse Empiredame in Rot,sichere Höhe, delikate Piani.
(Klaus Adam, Bayerische Staatszeitung, 8. Juli 2005)
Undenkbar wären diese Momente ohne das eindringliche und direkte Spiel Toscas (Hélène Bernardy) und Cavaradossis (Roman Sadnik). Eine immense Spannung verbindet die Beiden, die sich gegen Ende immer mehr zu verdichten scheint.
(Kathrin Feldmann, klassik-heute.de - 13. Juli 2005)
..kann aber vor allem auf Solisten bauen, die selbst an gepriesenen (Fest)Spielstätten rar sind: eine sich verzehrende, stimmlich hoch präsente Tosca (Hélène Bernardy),
(Hans Gärtner Der Neue Merker,1. Juli 2005)
Überzeugend brachte das die vorzüglich singende Protagonistin Hélène Bernardy mit dem flehentlichen „ Vissi d’arte“...Sängerisch blieben keine Wünsche offen. Neben der mit engagierte Könnerschaft singenden und spielenden Tosca von Hélène Bernardy...
(Dr.Christopf Bauer, Traunsteiner Tagblatt - 05.07.2005)
Elsa - Lohengrin - R. Wagner
On reste effectivement stupéfait et admiratif devant la capacité qu’elle a de projeter sa voix à pleine puissance sans que la justesse en soit affectée, devant cette vaillance et cette générosité que rien ne vient démonter, devant ces prises de risques qui se révèlent chaque fois payantes, devant ces aigus lumineux et radieux : dans l’éclat de ses trente ans, Bernardy réussit en outre à incarner avec une crédibilité totale la jeune et virginale princesse, gardant les yeux de Chimène pour son Lohengrin tout en repoussant le doute qu’instillent dans son esprit Telramund et Ortrud.
(Nicolas Blanmont, La libre Belgique- 2001)
Genievre - Roi Arthus - E. Chausson
The cast was unbeatable. As Genievre (Guinevere), Helene Bernardy has strength and weight without artifice. She broods, pouts, roars, manipulates with equal authority, ruling the roost as she floats from side to side on a brilliantly lit upper platform: her world-defying suicide - a potential dramatic disaster (she garrottes herself with her own hair) - was unexpectedly and ingeniously plotted.
(Roderick Dunnet, The Independent 06.11.2003)
The young Belgian dramatic soprano Hélène Bernardy made a brave stab at the role, singing with power and passion.
(Davis Shengold, Opera News 10.12.2003)
La soprano belge apporte une sorte de rayonnement, de frémissement charnel qui en dessine une femme aimante, passionnée, torturée : un grand soprano lyrique à l’aigu brillant, dans une puissance maîtrisée, aux demi-teintes douces et raffinées, même si les notes les plus graves peinent un peu à lutter avec l’orchestre, toujours aussi impliqué sous la baguette de Daniele Callegari. Mais de la houle de leurs corps à corps, dans la dernière partie, naît une intense émotion. Hélène Bernardy a des élans instinctifs qui trahissent le trouble et la panique, des abandons presque maternels avec Lancelot.
(Michèle Friche, Le Soir-2003)
Notre compatriote Hélène Bernardy est une admirable Genièvre, aux aigus solides et éclatants, à la voix autrement séduisante (...). De plus, elle possède une diction d’une clarté et d’une éloquence exemplaire.
(Harry Halbreich-Crescendo-2003)
Aida - Aida - G. Verdi
Bei dieser jungen Sängerin ist es wohl nicht übertrieben, von einer regelrechteEntdeckung zu sprechen.Die Herzen des Pulikums hat sie mit dieser Rolle praktisch im Sturm erobert. Mit einem Höchstmaß an Elan und darstellerischer Intensität stürzte sie sich indieRolle der äthiopischen Königstochter. Helch, wie sie die Hin- und Hergerisseneit Aidas zwischen ihrer Liebe zu Radames einerseits un zu ihrem Heimatlad andererseits höchst emotional auslebte und dabei über jedes Gefühl eine bezaubernde Anmut zu legen wusste, die hrMrakenzeichen zu sein scheint. Auch sängerisch ließ sie nichts zu wünschen übrig. Ihr schöner, glockenheller und dabei sehr ausdrucksvoller Sopran floß glasklar dahin, wurde differenziert und ausdrucksstark eingesetzt und bewältigte auch die schwierigen Spitzentöne mit spielerischer Leichtigkeit.
(Hermann Habitz, Der neue Merker 11/2000)
Verdi - Don Carlos
Vollends verblüfft war man jedoch am Ende dieses dritten Aktes ... derart eingestimmt wurde die grosse Szene Elisabettas - Hélène Bernardy ... mit beeindruckender Bühnenpräsenz ... zum Höhepunkt des Abends.
(Klaus Klachschmid, Opernwelt 09/2006
Über eine reiche Skala stimmlicher Nuancen für die Charakterisierung ihrer Stimmungen und Situationen verfügt Hèléne Bernardy als Elisabeth. Sie kann ihren Sopran, dem bei lyrischer Grundierung, dramatische Bereiche durchaus nicht verschlossen sind, ins expressive forte führen und in entsagendem piano verklingen lassen.
(Boris Michael Gruhl , Orpheus 09/2006)
Senta - Der fliegende Holländer - R. Wagner
Hélène Bernardys Senta-Sopran besitzt dramatische Durchsetzungskraft, dabei die Fähigkeit zu feinen Ausdruckschattierungen...
(Gerhard Rohde, Opernwelt- 01/2006)
A ses côtés (Marcel Vanaud), autre prise de rôle, on découvre la Senta d’Hélène Bernardy. Dès sa célèbre ballade, elle frappe fort, capable de chanter tour à tour à toute puissance et en mezza voce, sans jamais crier et en gardant toujours une diction très intelligible. La suite confirmera cette qualité d’une voix à la puissance impressionnante qui n’hésite pas à prendre des risques quitte à s’exposer, mais révélera aussi une actrice de qualité qui sait donner de la crédibilité à son personnage.
(Nicolas Blanmont-La libre Belgique-2001)
Hélène Bernardy was als Senta veruit het beste element in de bezetting. Het is een heldere, licht dramatische sopraan, maar toch lyrisch genoeg om het slotduet van de tweede acte tot het hoogtepunt van de avond te maken.
(G.M., De Standaard 28.12.2005)
Belle performance également de Hélène Bernardy, qui allie sans effort visible une grande puissance vocale et une belle subtilité expressive. Peu de chanteuses arrivent aussi facilement à ne pas donner l’impression de crier dans les passages les plus animés.
(parisbroadway)
Jaroslavna - Prince Igor - A. Borodin
Au milieu de ces familiers du répertoire et de la langue, Hélène Bernardy, pour ses débuts en soliste, et en russe, aurait pu être en position difficile : touchante, lyrique, sa Yaroslavna évidemment plus fragile, n’en est pas moins parvenue à intégrer, avec mérite, une douce image d’enluminure au milieu de ces icônes flamboyantes.
(François Lehel, Opéra international- 1997)
La (bonne) surprise, dans cette distribution internationale, nous vient d’une toute jeune soprano belge, Hélène Bernardy. Avec naturel, elle est cette vaillante princesse Yaroslavna, brisée par le destin. Sobriété dans le jeu, élégance dans la tenue, elle maîtrise parfaitement des sons filés pour faire passer l’émotion. Une belle chanteuse, mais aussi une grande comédienne nous est ainsi révélée.
(Michel Alexandre, Le Provençal - 1997)
Ellen Orford - Peter Grimes - B. Britten
Hélène Bernardy incarne une Ellen Orford aux allures de madone douce et protectrice, avec un chant rayonnant et parfaitement contrôlé.
(Nicolas.Blanmont., La Libre Belgique 05.03.2004)
De las voces solistas merece el primer puesto la soprano belga Hélène Bernardy, de tesitura spinto-dramática, con mordiente expresiva y que vivió intensamente el personaje de Ellen Orford.
(Diariovasco.com29.03.2004)
Sieglinde - Die Walküre- R. Wagner
Hélène Bernardy als strahlend klare Sieglinde.
(Johannes Rubner, Süddeutsche Zeitung 01.03.2001)
The Belgian soprano Helene Bernardy, what emotional range!
(Roderic Dunnet, The Independent 09.08.2002)
She was born in Belgium. She has sung with opera companies in Marseille, Chemnitz, and currently Karlsruhe. Her name is Hélène Bernardy; she sang Sieglinde, and without meaning to she stole the show.
By looking at her you would never know the brave National Youth Orchestra was mounting the Ring cycle in Birmingham in concert. She never mugged, and rarely moved far. Yet she acted and reacted every second, eyes burning with sympathy, longing, exultation, or, when her new-found brother and love, Siegmund, fell foul of gods’designs, abject despair.
There was a greater wonder still. Even with eyes closed you would have seen Bernardy. Her flexible, pure soprano projected each of Sieglinde’s feeling in a faultless stream of notes. At first she spooned out honeyed sounds as the lonely, loveless wife; then, as passions gripped, the throat opened, and the heavens followed. What a dynamic range! Achieved without force-no hooting, no blaring. This is an opera singer to reckon with
(Geoff Brown-The Times ( London)-2002)
Eine Sieglinde zum Anbeten: Hélène Bernardy, blutjung, bildhübsch, von einer weiblichen Anmut (wie sie höchstens noch Gwyneth Jones hatte), alles an ihr aufbrechendes Gefühl, höchste Sensibilität, große Leidenschaft; und eine Stimme - von Herzen hell und klar im Raum schwebend, mühelos sich aufschwingend in leuchtende Sopranhöhen. Alles an dieser Frau ist liebende Hingabe.
(Sieglinde Pfabigan, Der Neue Merker 01.06.2000)
Eine vom ersten Ton an durch optische und klangliche Sympathie für sich einehmende Sopranistin. Wie ein frischer Quell dringt ihre liebliche, sich in den Ausbrüchen, strahlkräftig behauptende Stimme an unser Ohr. Der akustischen entsprich die darstellerische Emphase der zudem deutlich artikulierenden Künstlerin.
(Wilhelm Guschlbauer, Der neue Merker 12/2000)
In der langen Liebesszene des 1.Aktes triumphierte Hélène Bernardy als Sieglinde, weniger als tragikgeschüttelte Darstellerin vielmehr mit vokalem Glanz.
Unerschöpfliche Reserven von strahlendem Wohlklang scheinen ihr zu Gebote zu stehen.
(Irene Tüngler-Sächsische Zeitung 3.11.98)
Und diese Sieglinde, Hélène Bernardy, die kann man nur als Entdeckung feiern! So mühelos unbekümmert, menschlich und leidenschaftlich gesungen und gespielt sieht man dieses Wotanskind selten. Der Erfolg war durchschlagend!
(Joachim Lange, Thüringer Allgemeine 3.11.98)
Hélène Bernardy als rührende, vom zaghaften Hausmuttchen zur selbstbewussten Heroine auflühende Sieglinde: stark im Ausdruck, dabei stimmlich beweglich und glänzend geführt durch alle Register:
(Eleonore Büning, Frankfurter Allgemeine Zeitung 23.11.98)
Hélène Bernardy als Sieglinde: mit welcher Mühelosigkeit sie die Leidenschaft Ihrer Partie herauskitzelte, dabei durchweg vokalen Glanz verströmend, ist allein eine Reise ins Sächsische wert.
(Gottfried Blumenstein, Opernwelt 1/99)
Hélène Bernardy ist als Sieglinde eine Entdeckung. Sie singt nicht nur, sie spielt auch: Selten gelingt die Wahnsinnsszene derart plastisch.
(Hagen Kuze, Berliner Mogenpost 3.11.98)
Le grandi star della Walküre erano senza dubbio Hélène Bernardy, Janice Baird e Donna Morein. Eccezionale era poi la Bernardy, con voce lucente negli acuti.
(Chistoph Münch, L´Opera 12/98)
Die in Gesang und Spiel faszinierende Sieglinde Hélène Bernardy, die mit hervorragender Stimmtechnik, Gestaltungskraft und glutvoller Vortragskunst eine hinreißende Sieglinde war. Jede Phase dieser liebenden, leidgeprüften jungen Frau bekam durch sie starke Lebendigkeit, ihre Textverständlichkeit war beispielhaft!
(Gitta Ranft, Der neue Merker12/98)
Giorgetta - Il Tabarro - G. Puccini
Quant à Hélène Bernardy, elle campe une Giorgetta au chant sûr et puissant.
(Richard Martet Opéra international-Juin 2007)
Vision en noir et blanc, digne des meilleurs films de Renoir, que celle du Tabarro selon David Poutny. Un quai sombre, au milieu duquel trône un container, où les différents protagonistes du drame évolueront avec une direction d’acteurs poussée à l’extrême.(…)
Timbre pulpeux, aux aigus tranchants avec une ligne de chant d’une grande justesse, Hélène Bernardy offre de Giorgetta un portrait fouillé, passant de l’abandon lascif dans les bras de Luigi, à la compassion qui l’étreint devant l’homme quelle aime encore. Scène finale sublime que ce couple qui se retrouve et quitte ce lieu maudit en se tenant par la main…
(Bernard Niedda concertclassic.com © 2001 )
Puissance de la musique, des voix, du jeu, de l’amour pour cette oeuvre portée à la scène avec une extrême justesse et une belle sensibilité. Hélène Bernardy dans le rôle de Giorgetta est convaincante, sa voix est captivante, criante de vérité et dotée d’une telle expressivité.
(Martine Goubatian,Le Progrès, 29 mars 2007)
Hélène Bernardy campe une solide Giorgetta, tant par la voix que par la présence sur scène. Cette soprane de formation wagnérienne impose par la qualité de son timbre une Giorgetta peu encline aux états d’âme et finalement assez rieuse. Apte à la nuance et au charisme, elle capte l’attention par ses belles capacités à passer d’un sentiment à l’autre au fil de cette eau symphonique qui rythme l’œuvre. Plus à l’aise en femme forte et nostalgique qu’en femme fragile, elle sait être de tous les instants, ce qui lui fait réussir son personnage sur le plan physique plus que psychologique. On a en effet du mal à voir en elle une repentante lors de la scène finale alors qu’elle n’a agi qu’avec une apparente légèreté et a su profiter des moindres pauses de la partition pour rôder autour de son Luigi.
(Pierre Mirli, Saint Etienne, 01. 04 .07)
le mezzo sensuel de Janja Vuletic et le soprano généreux d’Hélène Bernardy se complètent bien.
(Christian Merlin, Le Figaro, 22. 04. 2007)
on retiendra la belle italianité de la soprano Hélène Bernardy (Giorgetta), soignant avec talent l’intention et l’articulation du texte.
(Jacques Schmitt, ResMusica, 25. 04. 2007)
Hélène Bernardy fait de Giorgetta une femme déchirée et déchirante à la voix expressive.
(Erna Metdepenninghen, crescendo.be 29. 05. 2007)
P.Boesmans - Trakl Lieder
Bernardy et Ono nous emmènent vers un ailleurs fascinant. Le climat est bergien et l’orchestre enveloppant enserre les attaques mordantes de la soprano. La grande voix envoûtante de Bernardy embrasse littéralement les images mélancoliques (...) la soliste peut alors laisser parler sa voix, dans un mélange d’incandescence abrupte et de langueur mystérieuse.
(Serge Martin- Le Soir- 2005)
Mussorgski - Khovantshina
Hélène Bernardy, à la voix puissante et lumineuse ( Emma)
(MDM-La libre Belgique- 2003)
Hélène Bernardy es una Emma interesante que puede con los agudos de su corta peroextenuante parte.
(Jorge Binaghi, 29.05.2003)
Cilea - Adriana Lecouvreur
Bravissima Hélène Bernardy (Adriana Lecouvreur), che con il suo timbro sopranile caldo e brillante ha percorso tutta la gamma delle sfumature interpretative, dai momenti più teneri ed intimi sino ad una drammaticità intensissima.
(Christoph Münch, L´opera 06/2000)
Sie hätte nicht sterben sollen, denn man hätte gern noch viel länger dieser schönen Frau Hélène Bernardy zugehört, die mit einem hohen Maß an Stimmkraft und Schönheit bezauberte.
(Gitta Ranft, Der neue Merker 06/2000)
